LE RYTHME DE LA VIE

LE RYTHME DE LA VIE :

Cadence, tempo, bien trempé avec ses pas bien à elle, et ses unités du temps incontournables, mais cette danse si juste et rythmée, Qui nous berce, quand on lui fait confiance et qu’on se laisse aller.

Ce cercle qu’est la vie, est tel le ventre de la mère, notre terre à la forme ronde qui montre qu’elle bien féconde, … en douceur, explicite et logique.

Mais la simplicité nous complique, la facilité nous agace, dérange et parfois même nous agresse. La simplicité est source de complexité voir anxiogène. Et, aujourd’hui, j’ai trouvé une phrase, juste, et qui me semble vraie dont je suis fière :

« Le vide de la tête, pousse droit le précipice. Trop réfléchir sur soi va au tracas et trop de questions : remises en question sont tels les caprices de nous enfants, qui posons des questions débiles pour passer le temps et font de nous LA des morts vivants »

Quel luxe de pouvoir avoir si peu à faire et quel dommage de bénéficier de peu de curiosité pour aller se chercher des poux au lieux de le faire BATTRE ET VIBRER notre POULS » tels les hypocondriaques, à force de se regarder le nombril et de de s’observer, s’analyser, on va se trouver tous les maux du monde et toutes les maladies contemporaines, et celles qui nous conviennent de surcroit ! Là stop ! ‘faut réagir. Sujet que je peux développer si demande ou curiosité me sollicitent.

Ce que je constate n’est que du bon, après tout, malgré tout et beaucoup, mais quand on suit sa cadence… je vous assure c’est une belle harmonie… Que la vie, il n’y a pas de faux pas… juste de l’embarras, et surtout de « ‘faut pas » ,de l’empressement et de l’individualisme puis surtout, surtout, ce caprice qui est en chacun de nous. Qui fait que l’on est forcément déçu, quand on a pas ce qu’on veut, et encore plus, après avoir donné beaucoup et œuvré dur… Agir sans attente ponctuelle, construire sans s’arrêter en attendant un trophée que l’on estime (inconsciemment) mérité c’est se planter. En tous cas, dans mon cas et mon monde, c’est un constat.

Finalement on le sait que ce n’est pas si facile ! sinon il y aurai déjà un schéma accompagné d’un mode d’emploi comme les meubles d’Ikéa !! Y’a pas de manuel pour cette parcelle de notre cervelle. Et pour cette putain de route (…)

Qui n’avouera jamais, mais pense et au moins une fois à chaque fois qu’il avait agi, même ce avec le cœur, « de bonne foi » et n’attendait rien en retour, dit une des phrases du genre comme ça « avec tout ce que j’ai fait pour elle (lui) j’attendais rien, mais il y a un minimum » ou « J’ai tout donné je l’ai aidé à ce moment là, j’ai fait ci j’ai- fait ça…j’étais là etc… etc…

TOUS, au moins une fois l’avons dit… et par expérience, j’ai su, qu’en fait ça ne se passe pas comme ça pour que ça marche droit.

Ces gestes là On ne les dit pas, ses intentions là on n’y réfléchit même pas. Mieux encore… , à force, d’avoir fonctionné avec et pour ma conscience, pour moi, même avec la meilleure volonté du monde que je croyais… j’ai toujours été déçue et blessée et ce à chaque fois que je pensais comme ça.

Alors vient le moment, après la tourmente et la tempête (que cela provoque) après de nombreux maux de tête…les heures où on ne trouve toujours pas et récurèrent pourquoi, pourquoi on a « mérité ça ».

Viens ensuite le moment où l’on accepte, se résigne, et pour beaucoup, le bien inné de notre nature revient, puis on ne peut s’empêcher d’aimer encore et de vouloir donner. Quoiqu’il en soit. C’est en nous, les humains. On veut être accepté Quand on sait qu’on a pas le choix, on apprivoise et accueille cette mal formation dans nos vies, mais avec parcimonie.

Donner n’a pas d’unités, telle la ponctualité, car la générosité n’a pas de mémoire. Mais ça on apprend à le savoir.

Car la vie est juste, quand on est entier et intègre… AVEC SOI, ouais ça fait démago, je l’avoue, mais c’est un fait.

Pour ma part, car je ne peux parler que de ce que j’ai vécu, aujourd’hui, j’en ai la preuve et de plus en plus fort, quand je laisse le soin à la vie, de régler mes comptes. Voilà, c’est la comptable, l’assistante, le jury, pour moi, je laisse soin de s’occuper de tout ce qui me contrarie, ce que je trouve injuste, car elle est doyenne et je sais lui faire confiance maintenant. Sur ce point de vu là en tous cas. Oui, il y a une justice universelle, mais saboter son travail et vouloir dominer ce qui nous dépasse c’est un peu l’offenser.

Le cycle de la vie est rond, tout comme la roue, pourquoi dit on qu’elle tourne, elle est infinie et sa voûte universelle, elle tourne même sur elle même. Le cercle. Lisse et uni.

Le cœur est rond, les organes vitaux ont des formes géométriques en courbe, les yeux sont ronds.. bref, passons !